« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être bien adapté à un monde malade »
Jiddu Krishnamurti
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Camille Cousin – Shiatsu – AUCH

Camille Cousin est un thérapeute d’une immense sensibilité et profondément bienveillant. Ce praticien Shiatsu, membre de la FFST (Fédération Française de Shiatsu Traditionnel), dûment diplômé après 4 années de formation, aime faire découvrir cette pratique japonaise, qui vise à apporter un bien-être, de la détente, apaiser les tensions émotionnelles et mentales que la vie quotidienne peut amener.
Souvent apparenté à du massage ou des techniques de soins relaxants, le Shiatsu permet un travail sur la globalité de l’être. Dans la tradition asiatique, le mental et le corps ne sont pas dissociés. Le shiatsu va permettre de réguler, rééquilibrer la circulation énergétique dans son ensemble.
Ainsi le shiatsu peut vous accompagner dans votre démarche de mieux-être que ce soit pour un besoin de détente, soulager des troubles physiques ou un apaisement des émotions.
tél : 06 09 40 95 14
email : camillecousin@hotmail.fr
site web : https://www.camillecousinshiatsu.com
Adresses des deux cabinets :
- Lieu dit « Labarre », 309 chemin du Liares 32350 Ordan Larroque
- L’inspir, 50 rue Dessoles 32000 Auch
Croyez-vous en la réalité ?
Vous est-il déjà arrivé, au moins une fois dans votre vie, de jurer vos grands dieux que telle chose est vraie puisque vous l’avez vue de vos yeux ? Je suis prêt à parier que oui. Eh bien, peut-être devriez-vous être moins confiant en ce que vous croyez que vos yeux vous disent de « la réalité »…
Les neurosciences sont formelles : quand vous regardez quelque chose, un événement, un objet, une personne, une scène de la vie courante, le siège de la vision dans votre cerveau est alimenté par un flux venant de votre mémoire plus de 6 fois plus fort que celui venant de vos yeux. En clair, c’est essentiellement votre cerveau qui fabrique une représentation de la réalité en s’appuyant pour une petite partie sur ce qui vient de vos yeux.
Et idem pour les sons. Ce que captent vos tympans ne compte que pour une faible part de ce que vous êtes certain d’entendre.
La grande illusion
Les enquêteurs de la police le savent bien qui compilent de nombreux témoignages sur une scène de crime et doivent démêler la pelote des possibles entre tous les témoignages de bonne foi mais très différents les uns des autres. Toutes ces personnes sont sincères mais, entre les perturbations de leurs émotions diverses et les conditionnements de leur histoire personnelle, les « faits » prennent des allures fort dissemblables.
Cette vidéo, extraite d’une passionnante émission sur le cerveau, montre combien nos certitudes sensorielles sont sujettes à caution tant elle sont le matériau malléable de cette histoire que notre encéphale tisse en permanence et que nous désignons avec assurance comme étant « le réel ».
Alors, prenons un instant pour réfléchir à cette masse de souvenirs qui constitue ce que l’on appelle notre personnalité. Relatifs à des faits dont nous ne pouvons être totalement sûrs, ils façonnent pourtant nos rêves, nos espoirs, nos valeurs, nos croyances, nos doutes, nos peurs… et toutes les pathologies associées qui rendent souvent l’existence si pénible. Ce qui ne nous empêche pas d’y croire avec force, comme si nous étions toute notre vie en état d’Hypnose.
Vivre l’instant présent, apprendre avec discipline et persévérance à observer en conscience les flux sensoriels réellement captés par nos sens et séparer toutes les informations complémentaires que notre cerveau veut y associer. Voilà le véritable enjeu du commencement de l’éveil, pour voir Ce-Qui-Est et, peut-être, commencer à percevoir au-delà des apparences.
Le syndrome Candy Crush

La société du divertissement gangrène le mode moderne et instaure la perte de temps comme règle première. Nous abandonnons volontairement des pans entiers de notre vie à des « occupations » inutiles (jeux, émissions débiles…). Pour oublier notre déprime globale face à la perte de sens de nos existences. Et pourtant, c’est le pseudo-remède qui est la cause du mal. On arrête quand ?
Je le confesse, il y a quelques semaines, dans un moment de petite forme, j’ai installé le jeu Candy Crush sur ma tablette. Et, comme c’est intelligemment conçu pour être férocement addictif ce machin, je lui ai, depuis, lâché quelques heures de dépendance stupide. Honte à moi !
Jusqu’à ce matin.
Comme souvent ces jours derniers, je lance le jeu avec en arrière-plan l’idée que je ne vaux guère mieux que les personnes qui viennent me voir pour que je les aide avec leurs addictions (cigarettes, drogues diverses, alcool, sexe, casino, etc.). Et les mêmes raisonnements foireux : « Nan mais là c’est juste quelques minutes. Après j’arrête et je bosse ». Et soudain apparait un message corporate des créateurs du jeu, sans doute très fiers de leur performance :
« Saviez-vous que tous les mois 14 milliards de parties de Candy Crush sont jouées dans le Monde ? »
Le choc ! 14 milliards de parties !
A raison de 8,5 minutes en moyenne par partie, cela fait 200 millions d’heures consacrées chaque mois par des humains à ce jeu qui n’apporte rien, ne développe aucune compétence particulière puisque principalement basé sur le hasard donc inutile. 200 millions d’heures !
Et ce n’est qu’un exemple parmi les milliers ou dizaines de milliers de jeux pour smartphones, tablettes, ordinateurs ou consoles. Je ne parle même pas des milliards d’heures d’oisiveté abêtissantes évaporées devant des émissions de divertissement tout aussi inutiles. Attention, je ne mets pas dans le lot les documentaires et films qui relèvent de la culture mais j’y inclue les chaines d’information en continu où les envoyés spéciaux rivalisent de talent pour dire dans la plus belle logorrhée que, « non, rien de neuf depuis la dernière fois« . Il parait que les Français passent environ 3,5 heures par jour devant la télé. Je vous laisse extrapoler au reste de la population mondiale – enfin, celle qui a les moyens d’avoir une télé, un smartphone, une tablette… – et nous aurons une idée approximative de l’incroyable gabegie de conscience.
Des milliards et des milliards d’heures gaspillées, brûlées, anéanties. Autant d’heures que n’auront pas les amis, les conjoints, les enfants, les parents, les bouquins, l’art, le travail, les activités diverses, les associations, les engagements multiples, les promenades au contact de la nature, le jardinage, l’apprentissage, la connaissance, l’échange, la méditation, le développement personnel. Autant d’heures qui échappent à notre être le plus profond. Autant d’heures, de jours, de semaines et de mois de vie que nous abandonnons au néant.
Alors pourquoi ? Pourquoi cesser de vivre avant même d’être mort ? Le problème, c’est que nous avons tous des flopées d’excellentes mauvaises raisons :
- Pour me détendre
- Pour ne pas m’ennuyer
- Pour ne pas penser aux soucis
- Pour ne pas regarder mes peurs
- Pour ne pas angoisser face à ce monde fou
- Pour éviter de paniquer à l’idée que je vais mourir…
Mourir un peu beaucoup chaque jour pour se croire immortel. Quelle blague ! Mais c’est notre société toute entière qui souffre de troubles mentaux sévères. Une névrose collective ou une psychose généralisée ? Peu importe l’étiquette. Notre mode de vie collectif et individuel nous échappe et part à toute allure dans le mur. Le Titanic est en train de couler et nous applaudissons l’orchestre.
Sauf qu’il nous est très facile à chacun de nous de descendre du train fou. À tout moment. Dès que nous le voulons. Dès que nous décidons joyeusement de vivre notre vie. Aussi simple et rapide qu’un claquement de doigts.
Cela s’appelle une prise de conscience.
Ce matin j’ai désinstallé Candy Crush et deux ou trois autres jeux. J’ai mis Facebook en quarantaine et j’ai planqué la télécommande de la télé que je ne regardais de toute façon quasiment plus. Après un instant de satisfaction rageuse, J’ai ressenti un drôle de vide au creux de l’estomac que j’ai immédiatement reconnu : « Qu’est-ce que je vais faire ? Glups… ».
Puis j’ai vu ma pile de livres à lire, le rayon de soleil sur le pourpier fleuri au pied de ma fenêtre et je suis allé marcher avec un vague sourire aux lèvres et à l’âme.
l’Hypnose Humaniste expliquée par son créateur
Qui mieux que son créateur pouvait le mieux parler de l’Hypnose Humaniste ? C’est ainsi que INREES-TV lui a consacré en septembre 2016 une interview de plus d’une heure. Une rencontre étonnante et une belle occasion de tout comprendre de cette méthode révolutionnaire très fréquemment pratiquée dans mes cabinets d’Auch et de Saint-Paul-lès-Dax, pour le plus grand bonheur des personnes que j’accompagne et qui agissent directement sur l’amélioration de leur vie.
Cadeau ! Un extrait gratuit de dix minutes :
Pour visionner la totalité de cet entretien (vivement recommandé), il faudra vous abonner à INREES-TV. Ils ont une formule à moins de 7 euros pour regarder toutes les vidéos du site, dont celle-ci, pendant un mois. Et il y a des tas de très beaux reportages.
La Vie, selon Mère Teresa
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, perce-le.
la vie est une promesse, remplis-la.
la vie est tristesse, surmonte-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Mère Teresa
10 conseils pour vivre heureux, un paradigme à relire attentivement
On trouve partout de telles listes. Celle-ci n’est sans doute ni meilleure ni pire que les autres. Mais elle me semble tellement juste et pertinente que j’ai envie de la partager.
- Suivez vos intuitions. Elles sont votre connexion au Monde.
- N’ayez que de bonnes habitudes, car elles sont excellentes servantes (mais mauvaises maîtresses !).
- Harmonisez-vous au Monde : respirez et vibrez comme tout ce qui vous entoure, famille et amis, les gens et les choses aussi.
- Nourrissez votre corps : c’est votre âme matérialisée. Ne le gavez plus de tout ce qui vous tombe sous la main ! Mangez en conscience et… buvez beaucoup d’eau.
- Bougez-vous ! Faites de l’exercice. Quand les jambes vont, la tête va aussi.
- Bâtissez l’Abondance : la sécurité financière est un des signes qui montrent que vous êtes sur votre Voie. Mais elle se fabrique !
- Connectez-vous chaque jour, par la méditation, l’autohypnose ou la prière, la création artistique… Entretenez votre Interface à l’Univers
- Passez le relais : distribuez vos sourires, aidez les autres à votre mesure par un mot gentil, une idée donnée, voire un peu de votre temps pour les guider en esprit, en bénévolat humanitaire, même dans votre quartier ou à l’hôpital, même de petites choses… mais quotidiennes. Passez le relais et…
- Aimez ! Prenez du plaisir et donnez-en, c’est le premier pas. C’est l’esprit avec lequel vous faites les choses et qui remplit le simple mot gentil qui donne de l’impact à ce que vous faites. C’est plus que de la politesse et cela doit se sentir… Ainsi vos actes provoqueront bien plus que vous ne pouvez l’imaginer.
- Vivez dans la Magie, en restant connecté à l’univers subtil et à tout ce qui le compose. Relié, Enthousiaste. Soyez sur le chemin de votre Joyau intérieur et sentez-le battre en vous, comme un cœur.
Certains d’entre vous auront reconnu la liste crayonnée par la petite fille « miraculeusement » guérie, sur les instructions du monsieur de lumière, page 300 du tome 2 des « Créateurs de réalité » d’Olivier Lockert.
Le reflet d’une certaine carte du monde
Une belle liste d’enseignements pratiques pouvant faire évoluer chacun vers le bonheur. Et pourtant elle aussi repose sur un paradigme, c’est à dire un ensemble de croyances essentiellement inconscientes qui font partie de notre modus operandi en tant qu’individu, à titre de scientifiques ou comme société. C’est ce qu’en PNL, Programmation Neuro-Linguistique, on appelle la carte du monde. C’est l’ensemble de toutes ces petites certitudes jamais interrogées ni remises en question, héritées de notre parcours personnel, notre histoire familiale, l’époque et l’endroit où nous sommes nés, la culture dans laquelle nous avons grandi, etc. La carte du monde sous-jacente à cette jolie liste est évidemment celle de son auteur qui est pourtant un des meilleurs spécialistes français de ces structurations inconscientes de l’Esprit.
Prenons par exemple le point n°6. Bâtissez l’Abondance. Une notion chère aux auteurs américains de la « Loi de l’Attraction ». La sécurité financière serait un signe d’être sur la Voie. « Mais elle se fabrique« , précise « la petite fille ».
On sent poindre une notion de mérite. Valorisation de ceux qui travaillent et se lèvent tôt et tant pis pour les oisifs, ceux qui « ne font rien », qui « profitent du système via cette affreuse invention française : l’assistanat ». Cette pensée que l’on retrouve abondamment développée dans cet article d’Olivier Lockert sur l’argent procède à mon sens, et je suis conscient de ne pas avoir la science infuse, d’un paradigme dominant caractéristique de l’Ancien Monde : le libéralisme (néo, ultra, social ou autres préfixes).
Il repose sur un fantasme : la croissance économique. C’est à dire le principe selon lequel on peut toujours exploiter davantage, tirer chaque jour davantage profit d’une planète aux ressources finies. Pourtant, une planète, ce n’est pas extensible. C’est la somme d’un certain nombre fini d’éléments et de biens, dans la vision matérialiste, ou un organisme vivant, dans une approche plus axée sur la Conscience. Pomper indéfiniment l’eau d’une citerne fermée est impossible. Donc la croissance infinie est un fantasme.
En fait derrière ce terme d’abondance, se cache une grande confiscation qui a à voir aussi avec cette erreur très humaine : la propriété, mère de tous les vices. Or le besoin de propriété repose sur l’illusion de la dualité. Je veux posséder ce qui n’est pas à moi. Cette illusion disparait dès que l’on comprend que nous somme l’Un.
Tant que cette illusion perdure, les « élites »deviennent de plus en plus riches et « le peuple » de plus en plus pauvre. Des preuves de cette dégradation de nos structures environnementales et sociales sont désormais quantifiées par plusieurs études scientifiques (comme celle référencée dans cet article et en partie financée par la NASA). Nos croyances façonnent nos valeurs qui, à leur tour, dictent nos actions, et tout cela est en train de créer une crise d’une ampleur sans précédent.
Supposons que la planète soit habitée par 10 personnes dont la nourriture se limite à 5 pains (c’est à peu près la situation actuelle puisque, symboliquement, à l’époque où j’écris ces lignes, l’humanité a consommé la totalité des ressources que peut produire la Terre en une année, aux environs du 10 août). Si chaque pain est partagé en deux et harmonieusement distribué lors d’un juste partage, la situation est équilibrée et juste. Mais elle ne correspond pas au principe du « mérite » cher au libéralisme. Sa conception de l’abondance consiste à amasser de quoi vivre très confortablement dans notre société occidentale c’est à dire à disposer de bien davantage que d’un demi-pain. Or, si, dans notre planète exemple, l’un des 10 habitants amasse 3 ou 4 pains (pour être à l’abri du besoin), c’est forcément qu’il ne reste que des miettes aux autres. Et voilà, me semble-t-il, une conception bien peu humaniste du vivre ensemble.
Il est intéressant de constater que personne ne peut échapper à sa propre carte du monde, sauf à porter sur soi un regard incessamment inquisiteur pour débusquer ces fameuses habitudes de pensée semi-conscientes qui, lorsqu’on les interroge, ne génèrent qu’un vague et vain « parce que c’est comme ça ».
L’hypothèse matérialiste est erronée
Parmi les œuvres de référence de cette nouvelle façon humaniste de voir le monde, les meilleurs auteurs (dont Olivier Lockert dans ses bibliographies) conseillent avec raison la lecture du génial bouquin « What the Bleep do we know ?! Ainsi que le visionnage du film éponyme sur ce que la physique quantique change concrètement dans notre façon de voir le monde. A la page 30 de la version française de ce livre passionnant, nous lisons ceci : « Au cours des dernières décennies, des centaines de milliers, voire des millions de personnes ont connu de spectaculaires transformations sur le plan de leurs valeurs, de leurs perceptions et de la qualité de leurs rapports avec les autres et avec le monde. Pourquoi cela se produit-il ? Tout d’abord, les gens se sont rendu compte qu’au bout de leur quête de voitures luxueuses, de maisons plus imposantes et de gadgets toujours plus nombreux, il ne leur restait qu’un immense vide intérieur, ce même vide qu’ils s’efforçaient de combler par des biens matériels et de l’argent à profusion. Selon la vision matérialiste du monde, il suffit d’obtenir plus d’argent pour vivre une meilleure existence. Toutefois, après avoir réalisé que le vide subsiste même si l’on a accumulé beaucoup de biens on doit en tirer la conclusion suivante : l’hypothèse matérialiste est erronée. […] »
Difficile de se construire une bonne conscience de nanti ou de « méritant » pendant que de centaines de milliers d’humains triment dans des conditions épouvantables 70 h par semaine pour un salaire de misère censé faire survivre une famille entière ! Comme si ces pauvres bougres ne faisaient pas de leur mieux pour construire leur abondance. Bien sûr que nous ne sommes pas directement responsables de leur misère. Mais eux encore moins.
Un humanisme juste suppose donc l’abandon de cette seule injonction du « quand on veut on peut tout ». En effet, si les 7 milliards d’humains avaient l’opportunité de mettre en place les conditions de cette fameuse « abondance », il n’y aurait tout simplement pas assez de richesses à partager pour que chacun obtienne ce que gagnent les apôtres de cette croyance. Et ceux qui ont amassé n’auraient aucune envie de laisser filer le magot.
L’ange, à la page 138 des fameux « dialogues avec l’ange », dit : « Je t’enseigne. Prends garde aux Judas qui vendent le Verbe ! Il y en a autour de toi aussi. Le sais-tu ? » Il y a potentiellement ce Judas à l’intérieur de chacun de nous. Il prend souvent l’apparence de la satisfaction à la complaisante contemplation de notre réussite matérielle. Ouvrons l’œil ! Comme disait le grand maître Yoda : « Puissant le côté obscur de la Force est« . 😉
Alors le point 6 de cette liste pourrait plus justement et modestement devenir : Bâtissez la suffisance financière et satisfaisez-vous-en… Après tout, les grands maîtres spirituels du monde n’ont jamais roulé en voiture de luxe ni possédé de comptes en banque premium.
Le comble de l’optimisme !
L’hypnose retrouve ses lettres de noblesse
Le magazine Psychologies.com consacre un dossier complet d’une douzaine d’articles sur l’hypnose, son utilisation, ses méthodes. Bien entendu, cela reste très succinct mais permet cependant une bonne approche pour les néophytes.
Il y est notamment écrit que la réputation sulfureuse de cette discipline tend à s’estomper, au point de poser la grande question : « Assisterions-nous au « grand retour » de l’hypnose ? Depuis plusieurs mois, cette technique thérapeutique plus que centenaire semble avoir le vent en poupe : multiplication des livres chez les éditeurs, des forums sur Internet, des conférences… »
Paris capitale mondiale de l’hypnose cet été
Le magazine Sciences et Avenir annonce l’événement pour le week-end du 27 au 29 août 2015 : 2000 spécialistes de 40 pays vont se réunir à Paris pour faire le point sur les avancées de cette discipline au service de la médecine et de la santé. On notera au passage que le docteur Virot, du Centre de formation Émergences de Rennes souhaite que « seuls des professionnels de santé puissent enseigner l’hypnose ou utiliser l’hypnose« , rejetant toutes les autres formes de pratique dans « l’hypnose de spectacle ». Les centaines de thérapeutes et leurs milliers de patients satisfaits des résultats apprécieront…